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Dans ce « tour de chant » d’une mécanique improbable, des engrenages édentés, des grincements, naissent une harmonie inattendue.


Dès le départ apparait le « Fantôme de Pierrot » (clin d’œil au personnage d’une chanson de Maxime Leforestier).

C’est Bruno Sabathé, pianiste et complice d’Arno LeC’ depuis de nombreuses années, qui porte de sa voix les rêveries et contradictions de ce Pierrot désabusé…


Ici les chansons ne sont pas une fin mais un prétexte pour jouer, pour se jouer de la nostalgie, pour rire un peu aussi…
Tout y est et dérisoire comme le nez rouge qui rend les larmes inutiles et incongrues…


Écouter les voix contradictoires, oublier de voir le temps qui passe sur les photos jaunies…


Les chagrins d’amour qui s’oublient dans un été pourri, les petits tourments, les petites déceptions, Les petits bruits, les petites lâchetés, sont les matériaux des « petites chansons »…


Ce n’est pas un beau roman, pas une belle histoire, juste des petits moments
comme ça…

  

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